映画のブログ, le blog du cinéma

Monday, 11 November 2013

«On a un gars...» - Harvey Pekar


La bande-dessinée est très populaire depuis quelques années, surtout connu grâce aux Manga. Le Japon à élaborer son propre genre de Bande-dessinée et est aujourd’hui le plus grand producteur de bande-dessinée. Quant est-il de nous, communauté occidentale ? Nous avons les formats classique, mais aussi les Graphic Novel, qui sont assez similares aux Manga, car c’est un genre, comme les manga, qui raconte des histoires beaucoup plus élaborés et qui est, dans ce cas, beaucoup plus facile à adapter au cinéma. Les films présentés ci-dessous ont tous le thème de la bande-dessinée en commun, voir même les dessins dans un sens plus large.



Peur[s] du noir
Film de 2008, France
Réalisateurs : Blutch, Charles Burns, Marie Caillou, Pierre di Sciullo, Lorenzo Mattotti et Richard McGuire

Six dessinateurs contemporains français ont réalisé plusieurs court-métrages pour réaliser un long-métrages. Ces courts-métrages sont parfois muet, commentés ou seulement des dialogues. Il y a cinq histoires présentées dont plusieurs autres où on ne voit que des formes bougées, sont toutes en noir et blanc et sous un même thème : la peur du noir.

Dans ces histoires, il faut voir plus que la peur du noir. Plus que les peurs présentés. Nous avons l’impression d’être dans plusieurs cauchemars, surtout à cause des courts-métrages où il apparait que des formes. On ne comprend pas trop ce qui se passe, on utilise le suspense et une petite peur bouilli en nous. Certaines histoires nous laisse sur aucune fin concluante et c’est ce qui rajoute de l’incompréhension. Je n’aime vraiment pas les histoires d’horreur, mais je dois dire que j’ai apprécié… apprécié que ça soit court, surtout.


American Splendor
Film de 2008, États-Unis,
Réalisateurs : Shari Springer Berman et Robert Pulcini

C’est l’histoire d’Harvey Pekar, un homme bien ordinaire où sa vie se résume à être documentariste dans un hôpital et à collectionner des disques de jazz qu’il trouve dans des ventes de garages. Un jour, il alla voir un de ses amis bédéistes où il lui proposa une «storyboard», où on y retrouve ce qui c’était passer dans sa vie les derniers jours. Son ami accepta et, Harvey Pekar devint célèbre grâce à son histoire banale.

Le concept est intéressant, j’ai aimé l’humour dark et la façon dont le film fut présenté, mais sans plus. Je le prends plus comme si je visionnais la vie d’un gars qui fait pitié et qu’il en cherchait et qu’il ne se gênait pas pour dire ce qu’il pense. Il n’a rien fait d’exceptionnel, et je ne vois pas en quoi ce film serai vraiment bon. Oui j’ai ris, oui il est célèbre pour sa BD, mais rien vient me chercher.


Persépolis
Film de 2007, France
Réalisateurs : Marjane Satrapi et Vincent Paronnaud

En Iran, Marjane enfant vit une vie quand même assez paisible malgré les révolutions qui prônent dans son pays. À l’aube de ses 13 ans, la guerre contre l’Irak commence, et ses droits sont restrints. Elle est exilée par ses parents à Vienne, en Autriche, où elle y vivera d’autres révolutions : l’adolescence. Le film est inspirée de l’histoire originale de la bande-dessinée Persépolis de Marjane.


Un très bon film d’animation ! J’ai rien à dire. C’était aussi drôle que c’était triste. L’histoire m’a énormément touché et, malgré son exil, on peut facilement s’identifié à elle, même si on ne vit pas la même situation politique. On montre la vie d’une fille ordinaire, mais ce qui rends ce film bien, c’est que Marjane pourrait être n’importe qui. C’était le meilleur des trois films présentés, selon moi.

Monday, 28 October 2013

« Manni… attend... attends-moi ! » – Lola





Titre : Lola Rennt ( Cours Lola Cours en français)
Film Allemand
 Tom Tykwer
Sortie en salle en 1998


Pendant une journée comme les autres, Lola et son copain, Manni, sont dans le pétrin. Lola s’est fait voler son scooter et Manni, qui fait partie d’une mafia germanique, a égaré un sac de 100 000 marks dans le métro. Lola doit trouver l’argent en moins de 20 minutes pour éviter que son amant ait de graves conséquences. Et c’est là que sa course commence.


Dans ce film, nous remarquons des découpages techniques facilement identifiables. J’ai essayé d’en trouver 7 minimums, mais j’en aie trouvés que 5 parmi la grande liste.

 
Tout d’abord, les scènes où Lola court les rues de la ville pour se rendre à la banque de son père : on y retrouve une continuité dans la direction et des entrées et des sorties de caméra. Dans ces plans, Lola entre et sort toujours d’un plan et elle court toujours dans la même direction.

Aussi, on y retrouve une ellipse très subtile : quand Lola accroche quelqu’un, on voit son futur par une série de photographie. C’est des mini sauts dans le temps qui rendent les figurants plus secondaires.

Par la suite, on y retrouve quelques scènes floues, où l'on aperçoit Manni et Lola qui sont couchés et ils se parlent. On ne sait pas trop où ils sont et l’image n’est pas nette.

Finalement, ce film est un ramas de scènes alternées : parfois on voit Lola courir, d’autre fois Manni dans la cabine téléphonique en train d’appeler des contacts et l’horloge qui fait avancer ses aiguilles.


Outre que le découpage technique bien réaliser, ce film est très surprenant ! On ne s’attend pas du tout à ce genre d’histoire et d’intrigue. Le film est vraiment bien fait et j’ai aimé l’histoire ! Ce film rentre dans ma liste coup de cœur assurément !

Monday, 21 October 2013

« The Gods envy us. They envy us because we're mortal, because any moment might be our last...» - Achille


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Depuis le tout début de l’époque de la Renaissance, la société est subjuguée face aux histoires mythologiques de l’Antiquité. Cette fascination donna naissance au Péplum, un genre cinématographique, qui exagère les légendes. On y retrouve souvent des Mr. Muscles qu’on associe aux fameux personnages seulement grâce aux habits et le nom qu’ils portent.



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L’histoire la plus populaire de l’Antiquité a été reprise dans le film de Wolfgang Petersen : Troie, sorti en 2004. Mettant en vedette Brad Pitt, Eric Bana et Orlando Bloom, ce film dure environ 162 minutes.

La légende commence quand, Paris, très amoureux d’Hélène, reine de Sparte, propose de l’emmener avec lui dans son bateau qui le retour à Troie. Elle accepte et il l’a cache de son frère aîné Hector, a qui finit par lui avouer son crime. Dès la découverte de sa femme disparue, Ménélas demande l’aide de son frère Agamemnon pour aller la reprendre. Ayant une chance d’agrandir son empire, il accepta, et regroupa toutes les armées grecques en direction de Troie. Parmi cette armée, il y a aussi celle d’Achille, un homme dit immortel, qui y participe pour son honneur et gloire, et qu’au malheur d’Agamemnon, la guerre de Troie dépendra de lui.


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Il y a de cela bien longtemps, j’ai écouté la version dîtes coupée de Troie. Je dois avouer que la version Director’s Cut est meilleure de celle présentée ! De la violence a en coupé le souffle, du sang qui gicle partout, les fesses de Brad Pitt en mouvement… I LOVE THAT KIND OF THINGS. Je n’ai pas le choix de m’agenouillé devant le cliché du Péplum. J’aime ça ! À quoi bon dénoncer ce qui est un peu faux ? Car après tout, c’est ça le concept d’une légende. Homère en a beau écrit un poème, mais tout le monde peut l’interprété différemment. D’autres poétiques, et d’autres comme Mr. Wolfgang. Cette version étale Gladiator et 300 à 100 milles à l’heure.



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Pour sortir du genre ultra-violent, il y a aussi Agora, qui raconte une histoire vraie d’une femme qui à réellement existé : Hypatie, philosophe grecque, mathématicienne et astronome, qui a vécu en Alexandrie de 370 à 415 après J-C. Agora fut réalisé par Alejandro Amenâbar, il dure 126 minutes et l’actrice qui joue le rôle d’Hypatie est Rachel Weisz.

C’est la pagaille en Alexandrie. Nous sommes au 4ième siècle après Jésus-Christ, et ça parait. Des sectes de chrétiens se chamaillent contre les croyants de la mythologie romaine dans la ville. Enfermée dans sa bibliothèque avec les autres non-chrétiens, Hypatie veux préserver les parchemins les plus anciens qui sont la menace de la nouvelle religion approuvée, qui deviennent de plus en plus nombreux chaque jours.

Agora est simplement superbement réalisée. Les effets et les mouvements ne sont pas les même que dans Troie, mais ils sont aussi beau. J’ai aimé comment on a représenté Hypatie du début jusqu’à la fin : une femme prise dans deux époques du temps. Très bon film féministe, philosophie et sur la recherche de la vérité. C’est ce que j’en retiens.



Je ne peux comparer les deux films ensemble. Car oui, ils sont tous les deux du Péplum, mais les deux sont très différent l’un de l’autre. Mais je dois dire que mon côté maniaque c’est beaucoup plus amusé pendant Troie qu’Agora, vu que c’est un film beaucoup plus calme.

Monday, 7 October 2013

Une rencontre privilégiée !

Partout dans le monde, nous avons le privilège d’assister à des évènements culturels pour nous faire découvrir de nouveaux artistes et/ou de nouveaux mouvements. Par exemple, dans le cinéma, on a droit à plusieurs cérémonies telles que les Oscars ou alors des festivités comme le Festival de Cannes. À Montréal, précisément, s’organise le FNC : le Festival du Nouveau Cinéma.


Le FNC, c’est 1000 00 visiteurs par année, 273 films (court, moyen ou long-métrages) présenté de 12h à 3h du matin, durant 11 jours.  Cette année, pour la 42ième édition, le festival se tiendra sur 9 au 20 octobre. Créer en 1971, c’est également un des plus vieux festival au Canada.

Les films choisi au festival sont surtout des films basés sur les genres asiatiques ou sont des films asiatiques qui ne sont pas connu ou qui «passe» les normes du cinéma. Ils voient l’art du cinéma d’un œil différent et leurs buts peuvent bien nous choqués ou nous faire réfléchir sur des sujets tabous de notre société. En gros, ce festival est loin de nous faire visionner des films de genre populaire qui plaisent au public par leurs fins heureuses ou par l’histoire d’un héros bien ordinaire…

Le festival est d’abord réputé pour faire découvrir au public de futurs réalisateurs indépendants tout en exploitant leurs styles bien à eux. On y présente des films restaurés comme «Pink Floyd : Live At Pompeii» , on invite certains réalisateurs, producteurs ou acteurs principaux des films présentés et aussi, tout nouveau de cette année, des projections extérieurs gratuits ou on offre couvertures, pop-corn et boissons chaudes.

Le 25 septembre, nous, étudiants en Art et Lettres du Cégep de Granby Haute-Yamaska, avons eu droit à la visite des deux directeurs du FNC, soit Nicolas Girard Deltruc et Claude Chamberlan. Ils nous ont fait visionner des extraits des films qui seront présentés cette année au festival et certains ont captivés mon attention dont «L’étrange couleur des larmes de ton corps», «R100», «Wrongs Cops», «Tom à la ferme» et «Les rencontres après minuit». Par contre, j’ai eu deux gros coups de cœur et que j’ai aucun doute qu’il y aura un succès. En allant sur leur site internet, j’ai trouvé les bandes annonces de ceux-ci et ça m’a encore plus captivés ! Je parle ici de «The Life of Budori Gusuko» et de «GFP Bunny».



Maintenant, tout ce qui me reste à faire, c’est d’attendre sagement que mes espoirs seront exaucés ! 

«What is happening ?» - Elliot Moore





M. Night Shyamalan, de son vrai nom Manoj Nellinyatu Shyamalan, est un réalisateur très honoré et connu pour apparaître la plus part du temps, dans ses propres films. Diplômé de l’École des Art de New York, son début carrière ne fut pas un grand exploit avec ses deux premiers longs-métrages… Il sorti «Praying with Anger» en 1992 et «Wide Awake» en 1998. La troisième est toujours la bonne, c’est avec «Sixième Sens» en 1999 avec Bruce Willis, qu’il eut du succès en ramenant le genre surnaturel dans la cinématographie américaine. En 2000, on suit la cadence avec «Incassable» (toujours avec Bruce Willis) qui cette fois-ci traite de l’univers des «comic-books». Shyamalan explore le monde de la science-fiction et c’est aussi le genre de son 5ième long-métrage, son 3ième et dernier à avoir du succès, «Signes», en 2002.

Après avoir écouté et apprécier «Incassable», je me demandai : «Pourquoi ne pas visionner un autres de ses chef-œuvres ?» On me recommanda les trois œuvres présentés plus haut, et, tête de mule que je suis, je m’étais dit que ça ne devait pas être si pire que ça.

Donc voici : L’événement. Un film de suspense, 90 minutes, réalisé et dirigé par Night Shyamalan en 2008.


Elliot Moore, un homme ordinaire et professeur de biologie au Lycée de Philadelphie, doit être exilé de la ville avec sa femme, Alma ainsi que son meilleur ami et sa fille, Julian et Jess de la côte nord-ouest des États-Unis. La cause ? On ne sait pas trop. Dans la ville de New York, plusieurs personnes sont venues à se suicider brutalement et cet événement se propage sur toute la côte.

Un seul mot à dire. Qu’est-ce qui se passe ? Ce ‘est pas que j’ai rien compris du tout. Mais plutôt… pourquoi on passe d’Incassable, un film super entraînant… à ça ? Ce n’est pas pourri en tant que tel. Mais même le but des personnages principaux ne semble pas précis. J’ai été déçue du film, et encore plus de la fin.

POURQUOI UNE RADIO SORTIE DE NULLE PART, ACCROCHÉ LA APRÈS UNE CLOTÛRE.
POURQUOI!!??

Premièrement, je voulais repérer où Night apparaissait dans son film. Il me semble l’avoir vu dans la classe d’Elliot Moore… mais après quelques recherches sur le film… il apparaîtrait pas dedans. Non, il prête sa voix à Joey, un amant d’Alma, où il dit simplement : Allô ?

Tout me semblait mauvais dans ce film. Même les plans de caméra semblent être pris à la légère… On remarque une caméra à l’épaule et subjective quand des constructeurs vont rejoindre un de leurs collègues blessés. Une autre caméra subjective quand qu’Elliot se promène dans une maison de modèle, au milieu de nulle part. La seule fois où on voit un champ contre champ, c’est quand qu’Elliot rencontre Madame Jones. Elle lui adresse la parole (Madame est à gauche on voit l’épaule d’Elliot en amorce), on se retourne vers Elliot, et il est figé. Retourne à Madame Jones qui lui parle toujours. Je me suis demandé pourquoi il ne lui adressait pas la parole. Tout le long du film il essaie de sauver le plus de gens possible et il est très sociale et tout d’un coup… il est timide ? Non, non, non, non, NON !


La morale de cet article est de toujours écouté les recommandations de nos plus proches. 

Friday, 13 September 2013

«Next Saturday night, we're sending you back to the future!» - Doc

Fiche Technique :

Titre original : Back to the future
Titre français : Retour vers le futur
Réalisateur : Robert Zomeckis
Durée : 116 minutes 
Genre : Science-fiction

Date de sortie : 1985
Synopsis :
Tout commence quand Marty McFly entre chez son ami le Docteur Emmett Brown pour y découvrir son absence. Le téléphone sonne et Marty est surpris d’y entendre son fidèle ami !  Il lui demande d’aller le rejoindre cette nuit-là, à 1h15 du matin dans le parking du centre commercial et raccroche. Cependant, Marty est loin d’avoir la notion du temps… il n’est jamais à l’heure pour ses cours, jamais là à temps pour le souper et parti comme ça l’es, il n’aura même pas le temps d’aller voir son amoureuse, Jennifer, vu que l’«ami» de son père, Biff, à briser la voiture. En se présentant à l’heure au rendez-vous, il sera encore moins dans le temps ! En fait, «Doc» a inventé une machine à voyager dans le temps (à partir d’une DeLaurean) et après un terrible accident, Marty est propulsé 30 ans en arrière… soit en 1955 !
Le langage cinématographique :
Champ :

  • Champ-contre-champ : Après que Marty ait remarqué que la personne qui est assise à côté de lui au Café est nul autre que George McFly, son père, il demande à Marty ce qu’il regarde.
  • Profondeur de champ : Toujours au café, après que Biff ait dit a George de ne plus jamais remettre les pieds là, il y a une profondeur :

  1. Marty qui dévisage George (qui mange ses céréales) au premier plan
  2. Les tables et les personne qui y mange au deuxième plan
  3. Et dehors, Biff et ses amis qui saute dans leur voiture, qu’on voit grâce à la vitrine, au troisième plan.
  • Regard hors champ : Une fois que Marty ait quitté la ferme après s’être téléporté dans le temps, il arrête la DeLaurean et sort de la voiture pour regarder au loin avec une expression découragée.

Plans :
  • Plans descriptifs :

  1. Plan d’ensemble : Après que Jennifer ait donné le numéro de téléphone de sa grand-mère, Marty arrive dans son quartier à l’aide d’une voiture. On a fait un plan de grand ensemble sur le quartier par la suite.


  • Plans narratifs :

  1. Plan moyen : Au début du film, après que Marty ait programmé l’amplificateur, il se positionne devant celle-ci.
  2. Plan américain : Pendant que Jennifer essaie de convaincre Marty qu’il a des talents en musique, on a fait un plan américain sur eux.
  3. Plan rapproché taille : En 1955, pendant que Marty joue Johnny B. Goode au bal des finissants, le guitariste qui s’était coupé la main appelle quelqu’un pour lui faire «écouter du nouveau son».
  4. Plan rapproché épaule : Après que Marty s’est fait embrasser par sa mère, il s’écrase au fond de la voiture et on le voit que de la tête aux épaules.

  • Plans psychologiques :

  1. Gros plan : Les visages de Marty et de son proviseur prennent toute la place de l’écran quand ils discutent de l’audition de musique
  2. Très gros plan : Pendant quelques secondes, on voit que la main de Marty qui est en train de programmer l’amplificateur au début du film.
  3. Insertion : Juste avant que Marty ne joue sa première note, il brandit un «pic» de guitare dans les airs qui se mets à briller.
  4. Plan subjectif : Après que sa future grand-mère ai présenté le nouveau bébé à Marty, son oncle Joey , on peut se mettre à la place du bébé quand Marty parle de son avenir à celui-ci.

Angles de prise de vue :
  • Vue en plongée : On a fait une vue en plongée sur Marty dans la DeLaurean qui est en train de se faire pourchasser par les libyens dans leur Volkswagen.
  • Vue en contre-plongée : Quand Biff cogne à la portière de la voiture de 1955 de Marty, il est en contre-plongée pour montrer qu’il est puisant. 

Les mouvements de caméra :
  • Panoramique :

  1. Horizontale : Il n’y en a pas dans le film.
  2. Verticale : Au bal, on monte la caméra de des pieds à un George qui danse seul.

  • Traveling :

  1. Avant : Au café, on peut se mettre dans la peau de George qui avance tout doucement vers Lauren et sa bande afin de l’inviter au bal (C’est aussi une vue en subjective)
  2. Arrière : Il y en a pas.
  3. Vertical : Marty arrive à l’ancienne demeure de «Doc» on a fait monté la caméra vers le haut.
  4. Latéral : Dès le tout début du film, pendant qu’on voit le «cast» du film, on défile les inventions de «Doc» en traveling latéral.
  5. Circulaire : Il y a un petit traveling circulaire en contre-plongée quand Marty commence à chanter Johnny B. Goode au bal des finissants.

Cadrer un sujet en mouvement :
On a cadré Marty en mouvement pendant qu’il essaie d’échapper à Biff en skateboard.

Effets visuels :
  • Vue en amorce : Pendant que George essaie de convaincre Marty que ce n’est pas grave si la voiture est brisée, Marty est en amorce.
  • Effet de portail : Il y a une présentatrice de nouvelles à la télévision de «Doc» qui parle d’un vol de plutonium, après qu’elle se soit allumée automatiquement.
  • Effet d’interdépendance : La caméra est pointée vers Biff pendant qu’il conduit et essaie d’attraper Marty en skateboard. Cependant, la caméra est stable.

C’était les seuls éléments présents dans le film. On n’y comptait pas non plus de mouvement optique (zoom), de plan séquence, de plan de grand ensemble, d’overhead shot, d’effet de reflet et de caméra à l’épaule.

Sunday, 8 September 2013

«rawr» - Tyrannosaure Rex

Fiche Technique :
Titre original : Jurassic Park
Titre québécois : le Parc Jurassique.
Réalisateur : Steven Spilberg (d’après le roman de Michael Crichton : Le parc jurassique)
Durée : 127 minutes (environ 2 heures)
Genre : Science-fiction

Date de sortie : 1993
Synopsis :
Deux archéologues, Alan et Ellie, reçoivent la visite inattendue de John Hammond, le président de la compagnie InGen. En effet, en échange de financer leur site archéologique pour les cinq prochaines années, John leur offre de passer un week-end dans son tout nouveau parc d’attraction : Le Parc Jurassique, afin d’y convaincre un avocat pour qu’il accepte son projet. Entre temps, Dennis, un informaticien du parc, accepte de participer à un vol d’embryon de dinosaures de la part d'une compagnie adverse pour réglé ses problèmes financiers. Les deux événements vont se combiné ensemble et vont créer une terrible catastrophe.
Le langage cinématographique du film:

Champ :

  •        Entrée-sortie : On peut compter alors trois entrée à partir de quand Alan entre dans la caravane, entrée de John qui se fait découvrir par Alan et celle de Ellie par la suite.
  •           Champ-contre-champ : Il y  a petite scène de champ-contre-champ quand John Hammond et Malcom discute sur le fait que les dinosaures aurait dût rester disparu, quand la troupe déjeune tous ensemble dans une salle noir, après avoir visité la cage des vélociraptors.
  •         Profondeur de champ : À la mine d’ambre Mano de Dios, après que l’avocat/journaliste soit débarqué de son bateau de bois à l’aide d’un mineur espagnol, on peut remarquer une certaine profondeur :  
  1. Les deux personnages sont au premier plan
  2. La rivière ainsi que le quai sont au deuxième plan
  3. Au loin, on remarque une personne de l’autre côté de la      rivière, c’est le troisième plan.
  •                 Regard hors champ : On sait très bien que Spilberg est un génie à propos des regards hors champ. J’ai même ragé sur le fait qu’il y avait trop de suspense. Il y en avait un même au tout début du film, quand les gardiens se préparaient à recevoir une mystérieuse boîte. Ils regardaient quelque chose au loin, au-delà des arbres sans que l’on sache ce que c’est.


Plans :


  • Plan séquence : Les plans séquence du film sont très courtes, mais on peut très bien les différencier des travelings. Comme par exemple, encore au début du film, quand une grue dépose la mystérieuse boîte sur le quai et qu’il y est écrit le nom du lieu où ils sont, soit Isla Nublar.
  • Plans descriptifs :  
  1. Plan de grand ensemble : Le seul plan de grand ensemble du film est la dernière scène juste avant le générique, quand l’hélicoptère s’en va au loin d’Isla Nublar et qu’on a une belle vue sur l’océan et le ciel. 
  2. Plan d’ensemble : Plusieurs fois dans le film on avait droit à des plans d’ensemble. Sauf que les personnages étaient présents. La seule fois dans le film où on n’y voit pas les personnages, c’est après qu’Alan et les petits-enfants de John arrive devant une clôture électrifié de 10,000 volts, après avoir traversé une vallée. On y voit la clôture de l’autre côté d’où ils sont et les montagnes au loin.

  • Plans narratifs : 
  1. Plan moyen : Très difficile à trouver, vu que c’est un des plans le moins utilisé dans le film. La scène où Dennis cherche ses lunettes dans l’eau après qu’il a tombé d’une mini-falaise (pour essayer des remorqué son jeep pour atteindre le port à temps) en était un. On la cadré de la tête aux pieds et pas seulement sur lui : on voit une bonne partie du décor aussi.
  2. Plan américain : Il y en a un quand Alan et le reste des archéologues sont réunis devant un ordinateur pour y découvrir ce qu’il y a dans le sol, au site archéologique. Le plan se termine exactement à la mi-cuisse de tous les personnages.
  3. Plan rapproché taille : Après que la bande ait vu une vache descendre dans l’enclos des vélociraptors, ils discutent tous ensemble (seul John est face à la caméra) avant d’aller déjeuné.
  4. Plan rapproché épaule : Après un traveling avant, on remarque un employé habiller différemment des autres gardiens et qu’il semble les commandés, au début du film, toujours quand ils reçoivent la boîte mystérieuse.
  • Plans psychologiques : 
  1. Gros plan : Le visage terrifié d’Alan puis celui de Malcom qui regardent le T-Rex «joué» avec la jeep de visite des petits-enfants de John. On voit un visage à la fois.
  2. Très gros plan : On revient encore au début du film, quand le «commandant» des autres employés essaie de sauver un gardien qui est la proie d’un des raptors. On a fait un très gros plan sur sa bouche.
  3. Insertion : Une insertion c’est un très gros plan sur un objet. Notamment quand on fait un très gros plan sur l'eau qui «tremble» dans un verre qui signale l'arrivé du majestueux Tyrannosaure Rex
  4. Plan subjectif : Un plan subjectif est quand la caméra prend la place des yeux d’un des personnages. Comme par exemple, juste avant que les jeeps commencent la visite, on peut se mettre dans la peau d’Alan qui est assis derrière et qu’on voit les portes ainsi que le logo en anglais du Parc Jurassique s’ouvrit. On a pu facilement reconnaître que c’était lui avec le tableau de bord à l’avant ainsi qu’Ellie qui est assise à l’avant (on ne voit que sa manche de chemise).

Angles de prise de vue :

  • Vue en plongée : Pendant la visite du Parc, on fait un arrêt devant l’enclos du T-rex. On voit les jeeps qui s’arrêtent et on fait un petit traveling arrière pour montrer les lumières de l’enclos électrifié. Une vue en plongée symbolise aussi la faiblesse d’un personnage. Donc on a le sentiment que tout le monde est faible face au T-Rex. 
  • Vue en contre-plongée : Au tout début du film, plusieurs employés répètent : Attention ! Faîtes attention ! Quand la boîte va se déposer sur le sol. Par cette vue en contre-plongée, on a le sentiment qu’on n’a pas seulement focusé sur une simple boite,
  • Overhead shot : Les scènes où il y a un overhead shot sont rare. Mais on pourrait qualifier le moment où les jeeps passent les portes du Parc Jurassic l’un d’eux.


Les mouvements de caméra :

  • Panoramique : 

  1. HorizontaleOn peut sentir que la caméra a bougé sa «tête» de gauche à droite quand Dennis enroulait une corde de fer autour d’un arbre et qu’on a vu les pattes d’un dinosaure passé devant.
  2. VerticalIl y en avait aucun dans le film.


  • Traveling

  1. AvantAprès qu’on a vu de l’eau bougé dans une empreinte de patte et qu’on avance vers Malcom pendant qu’il réalise que le T-Rex arrive. 
  2. ArrièreIl y en a un pendant qu’Alan et les petits-enfants sont dans un arbre et qu’ils discutent avant dans de dormir. 
  3. Vertical La caméra descend en même temps que l’hélicoptère qui est en train d’atterrir (on voit une cascade derrière). 
  4. Latéral Quand qu’un personnage qui répond au prénom de «Dodson» se dirige vers Dennis dans un restaurant à San Jose. 
  5. CirculaireIl y en avait aucun dans le film.


C’était les seuls éléments présents dans le film. On n’y comptait pas non plus de mouvement optique (zoom) et de caméra à l’épaule.

Critique : 
Évidement, c’est un film de Spilberg… alors c’est bon d’avance. Dès les premiers instants du film j’ai embarqué dedans. Je me demandais trop de fois : «mais qu’est-ce qui se passe ?» à cause des nombreux hors-champs. Aussi, je ne m’attendais point à la fin du film. Je m’attendais à la belle fin romancer d’un film américain, mais non ! Merci Spilberg de nous offrir enfin un film sans ce cliché… enfin, tous ses films sont ainsi ! Si Jurassic Park n’avait pas été réalisé par lui (ce qui est le cas pour le troisième film), ça l’aurait été un échec pour introduire la trilogie. Très bon film ! Je tiens à dire aussi que je ne verrai plus jamais les films de la même manière, maintenant que j’ai vraiment analysé un film avec tous ses éléments, surtout celui-ci.