映画のブログ, le blog du cinéma: November 2013

Monday, 11 November 2013

«On a un gars...» - Harvey Pekar


La bande-dessinée est très populaire depuis quelques années, surtout connu grâce aux Manga. Le Japon à élaborer son propre genre de Bande-dessinée et est aujourd’hui le plus grand producteur de bande-dessinée. Quant est-il de nous, communauté occidentale ? Nous avons les formats classique, mais aussi les Graphic Novel, qui sont assez similares aux Manga, car c’est un genre, comme les manga, qui raconte des histoires beaucoup plus élaborés et qui est, dans ce cas, beaucoup plus facile à adapter au cinéma. Les films présentés ci-dessous ont tous le thème de la bande-dessinée en commun, voir même les dessins dans un sens plus large.



Peur[s] du noir
Film de 2008, France
Réalisateurs : Blutch, Charles Burns, Marie Caillou, Pierre di Sciullo, Lorenzo Mattotti et Richard McGuire

Six dessinateurs contemporains français ont réalisé plusieurs court-métrages pour réaliser un long-métrages. Ces courts-métrages sont parfois muet, commentés ou seulement des dialogues. Il y a cinq histoires présentées dont plusieurs autres où on ne voit que des formes bougées, sont toutes en noir et blanc et sous un même thème : la peur du noir.

Dans ces histoires, il faut voir plus que la peur du noir. Plus que les peurs présentés. Nous avons l’impression d’être dans plusieurs cauchemars, surtout à cause des courts-métrages où il apparait que des formes. On ne comprend pas trop ce qui se passe, on utilise le suspense et une petite peur bouilli en nous. Certaines histoires nous laisse sur aucune fin concluante et c’est ce qui rajoute de l’incompréhension. Je n’aime vraiment pas les histoires d’horreur, mais je dois dire que j’ai apprécié… apprécié que ça soit court, surtout.


American Splendor
Film de 2008, États-Unis,
Réalisateurs : Shari Springer Berman et Robert Pulcini

C’est l’histoire d’Harvey Pekar, un homme bien ordinaire où sa vie se résume à être documentariste dans un hôpital et à collectionner des disques de jazz qu’il trouve dans des ventes de garages. Un jour, il alla voir un de ses amis bédéistes où il lui proposa une «storyboard», où on y retrouve ce qui c’était passer dans sa vie les derniers jours. Son ami accepta et, Harvey Pekar devint célèbre grâce à son histoire banale.

Le concept est intéressant, j’ai aimé l’humour dark et la façon dont le film fut présenté, mais sans plus. Je le prends plus comme si je visionnais la vie d’un gars qui fait pitié et qu’il en cherchait et qu’il ne se gênait pas pour dire ce qu’il pense. Il n’a rien fait d’exceptionnel, et je ne vois pas en quoi ce film serai vraiment bon. Oui j’ai ris, oui il est célèbre pour sa BD, mais rien vient me chercher.


Persépolis
Film de 2007, France
Réalisateurs : Marjane Satrapi et Vincent Paronnaud

En Iran, Marjane enfant vit une vie quand même assez paisible malgré les révolutions qui prônent dans son pays. À l’aube de ses 13 ans, la guerre contre l’Irak commence, et ses droits sont restrints. Elle est exilée par ses parents à Vienne, en Autriche, où elle y vivera d’autres révolutions : l’adolescence. Le film est inspirée de l’histoire originale de la bande-dessinée Persépolis de Marjane.


Un très bon film d’animation ! J’ai rien à dire. C’était aussi drôle que c’était triste. L’histoire m’a énormément touché et, malgré son exil, on peut facilement s’identifié à elle, même si on ne vit pas la même situation politique. On montre la vie d’une fille ordinaire, mais ce qui rends ce film bien, c’est que Marjane pourrait être n’importe qui. C’était le meilleur des trois films présentés, selon moi.